L’enquête que viennent de rendre publique l’Observatoire Français des Toxicomanies et l’INPES est certes intéressante mais ne fait guère que confirmer ce que tout le monde savait déjà concernant le nombre de joueurs excessifs ou problématiques (environ 1,5% dans ce cas).
Elle a cependant le mérite de poser un repère à la prochaine enquête que l’on espère rapide et qui prendra en compte les jeux d’argent sur Internet, autorisés depuis mai 2010 et qui échappent donc aux résultats délivrés.
On s’attend à une augmentation sensible des addictions, compte tenu de la diversité de l’offre et des facilités d’accès, à toute heure du jour et de la nuit, que permet Internet.