Décidément, chaque étude concernant l’intérêt du dépistage du cancer du sein prend un tour négatif.
Le travail que l’équipe canadienne a publié dans le BMJ du 11 février n’échappe pas à la règle, même si elle ne concerne que les femmes de 40 à 59 ans (vs celles de 50 à 74 ans en France) ayant subi un dépistage annuel (vs tous les deux ans en France).