Le calcul est vite fait. En limitant la croissance de l’Objectif National des Dépenses d’Assurance Maladie (ONDAM) à 2,1% en 2015 (vs 2,4% en 2014), ce sont 3,2 milliards d’euros qu’il va falloir économiser dans le secteur de la santé.
1,2 milliard d’économies en travaillant sur « la pertinence et le bon usage » (encadrement des tarifs des professionnels de santé, réduction des prescriptions coûteuses).
1 milliard gagnés sur le prix des médicaments et le développement des génériques
1 dernier milliard pris sur l’hôpital avec le développement de la chirurgie ambulatoire.
Dans les mesures positives, il faut quand même signaler la mise en place du tiers payant et les mesures coercitives visant à rendre accessible le traitement de l’hépatite C.