La mise en ligne sur le site de l’AFSSAPS de 59 médicaments placés « sous surveillance » constitue une réponse très contradictoire à l’exigence de transparence née de l’affaire du Mediator. La procédure mise en œuvre ne signifie en aucune façon que les médicaments ou les vaccins cités présentent des vices cachés.
Certains d’entre eux n’ont qu’un défaut : celui d’être récents. Finalement, on aimerait que soit rediffusée une campagne mise en œuvre en 1991 par le Comité Français d’Education pour la Santé (« ancêtre » de l’INPES).
Son slogan : « Un médicament, ça ne se prend pas à la légère »…