En les surnommant « salles de shoot » leurs adversaires savaient comment déstabiliser une opinion hésitant entre une répression déterminée et une prévention angélique…
Les salles de consommation de drogue à moindre risque, déjà expérimentées avec succès dans une dizaine d’autres pays, sont destinées à des toxicomanes précarisés, s’injectant leur produit dans des conditions d’hygiène désastreuses (halls d’immeubles, voie publique).
Ce salles ont donc un double objectif : une réduction des risques liés aux injections et une diminution des nuisances dans l’espace public.
Le coût de la mesure est estimé à 800.00 euros par an, l’expérimentation étant limitée à 6 ans.