Certaines femmes doivent bénéficier d’un dépistage précoce du cancer du sein… mais à condition qu’elles soient à risque.
C’est ce que la Haute autorité de santé a voulu rappeler en passant au crible 69 facteurs de risque présumés de cancer du sein.
Parmi les faux facteurs de risque, on trouve par exemple la consommation de thé ou de café mais aussi les implants en silicone ou le traitement hormonal post-ménopause.
Parmi les femmes présentant de réels facteurs de risques nécessitant un dépistage avant 50 ans, on trouve celles qui ont déjà subi une radiothérapie ou présentant des antécédents familiaux.