Non seulement le sperme d’aujourd’hui est globalement de moins bonne qualité que celui d’hier mais, de surcroît, cette qualité varie en fonction des régions.
C’est la découverte qu’une équipe de l’Institut de Veille Sanitaire et de l’Inserm a faite en constituant la base de données « Fivnat ».
Sans que l’on puisse encore en donner une explication irréfutable, des régions comme l’Aquitaine et le Midi-Pyrénées présentent ainsi un déclin plus marqué que la moyenne.
L’hypothèse d’une exposition plus importante aux pesticides et aux perturbateurs endocriniens dans les zones à forte vocation agricole est pourtant évoquée avec de plus en plus d’insistance.