Ils n’étaient que 11% à le faire il y a 10 ans. Aujourd’hui, si l’on en croit une enquête du Credoc, près d’un petit Français sur 3 sauterait le petit déjeuner au moins une fois dans la semaine.
Cette chute est spectaculaire et inquiétante car elle touche les enfants de 3 à 14 ans, c’est-à-dire à un âge où non seulement les besoins énergétiques sont importants pour « tenir » jusqu’au déjeuner, d’autre part pour prendre les habitudes alimentaires que l’on conservera toute sa vie.