Le mercure, comme ses dérivés sont « une préoccupation pour la santé publique mondiale et ont toute une série d’effets graves ».
L’OMS vient donc de lancer un appel pour devancer les résolutions de la convention de Minimata qui autorise l’utilisation du mercure dans les thermomètres jusqu’en 2030, si l’on prend en compte les dérogations prévues au-delà de 2020.