On estime à 18.000 le nombre de cabines UV avec un taux de progression annuel dépassant les 8%. Cela fait belle lurette que les autorités sanitaires s’inquiète des dégâts dont, selon elles, le bronzage artificiel serait responsable mais, malgré ces avertissements répétés, les amateurs de bronzage sont de plus en plus nombreux. 16% de la population y auraient recours.
La commission sénatoriale rejoint ainsi l’avis rendu par l’Académie de Médecine au mois de mai dernier qui réclamait l’interdiction pure et simple des cabines à UV (interdiction déjà acquise au Brésil).