Des lunettes pas chères… pour les Indiens
Le N°1 des verres correcteurs dans le social business




Essilor cherche à développer des modèles économiques pour les populations à très faible pouvoir d’achat

On pleure – à juste titre - sur le prix des lunettes et le mauvais remboursement par la Sécu. On oublie du coup que 2,5 milliards de personnes dans le monde ne voient pas correctement et que 95% d’entre elles vivent dans les pays émergents.

Les dirigeants d’Essilor ont décidé de créer une nouvelle division d’activité spécialisée dans le « social business », c’est-à dire tournée vers des populations qui, plus tard, pourront faire partie de leur clientèle en développant des modèles socio-économiques innovants et profitables.

On les voit venir de loin mais, après tout…