L’étude du biologiste français Gilles-Eric Seralini avait secoué le Landerneau écolo et médiatique. A la Une du Nouvel Obs, des pauvres rats de laboratoires montraient d’horribles tumeurs après absorption de maïs transgénique.
Très contestée à l’époque en raison d’un protocole peu exigeant, elle vient de terminer sa triste carrière à la poubelle puisque l‘éditeur de la revue Food and Chemical Toxycology qui avait publié les résultats du biologiste en septembre 2012 vient de demander son retrait de la littérature scientifique.