Alors même que l’Agence de Sécurité du Médicament était prête depuis cet été à lui accorder une Recommandation Temporaire d’Utilisation (RTU), le Baclofène restait confiné dans la clandestinité.
Il manquait encore l’avis de la CNIL qui devrait se prononcer le 13 mars sur le dispositif de suivi des patients, dispositif destiné à étudier les effets indésirables de ce relaxant musculaire « détourné » de son usage premier.