Ce mouvement, démarrant le 15 octobre, n’est pas une grève car chaque urgentiste sera à son poste pour y effectuer son travail et, pour chaque patient nécessitant une hospitalisation, les urgentistes continueront à contacter l’unité adaptée.
En revanche, si aucune solution simple ne se présente, la fonction de recherche de lit sera laissée au directeur de l’établissement ou aux personnes qu’il aura désignées.