Seuls les sites adossés à des pharmacies physiques auront le droit de vendre des médicaments en ligne. Ces médicaments sont en outre limités à ceux délivrés sans ordonnance, soit environ 4.000 produits.
La volonté d’encadrer strictement la vente de médicaments en ligne constitue aussi un nouveau signe de la part des pouvoirs publics : aucune brèche ne s’ouvre dans le monopole des pharmacies.