Parfums : le jeu des 7 familles

Lorsque l’on entre dans une parfumerie, il n’est pas toujours facile de se retrouver parmi toutes les fragrances (comme on dit aujourd’hui) proposées à notre appendice nasal. Voici un petit jeu des 7 familles pour nous y aider :

Les Hespéridés. Ce sont souvent des notes fraîches, évoquant les agrumes : citron, bergamote, bigarade...

Les Floraux. Il s'agit d'une famille propice aux parfums sensuels : tubéreuse, rose, jasmin...

Les Fougères. Plutôt masculines, leurs notes s'inspirent de lavande, de sous-bois, des feuilles...

Les Boisés. On les retrouve dans de nombreux parfums masculins, basés sur des écorces ou de racines odorantes : santal, vétiver, cèdre...

Les Chyprés. Cette famille a pour note de base la mousse de chêne, qui peut se marier à des fleurs (son nom est tiré du parfum « Chypre »)

Les Orientaux. Ambrés et vanillés, leurs notes sont capiteuses, sucrées, envoûtantes, ultra féminines.

Les Cuirs. Dans la famille des garçons baroudeurs, je voudrais le miel, le tabac, le bois brûlé et le cuir.

Sens uniques ?

On n’ira pas jusqu’à l’analyse de phénomènes paranormaux, mais il est vrai que certains sens, bien réels, sont un peu mis de côté lorsqu’on en reste aux cinq incontournables. Exemple ? « L’équilibrioception », c'est-à-dire bien sûr la perception de l’équilibre, mais également ce que l’on peut appeler « le sens de l’orientation », dont certain(e)s d’entre nous sont plus ou moins bien doté(e)s. Autre exemple ? La « proprioception » qui est la perception inconsciente de l’endroit où se trouvent à chaque instant les différentes parties de notre corps (à Jacques-a-dit, on lève la main sur ordre en « sachant » où celle-ci se trouve).

Signes forts

Permettant aux personnes sourdes de communiquer entre elles, la langue des signes partage avec la langue orale des caractéristiques comme une grammaire, une syntaxe ou un lexique. La langue signée se compose d’une combinaison de configurations manuelles, de mouvements et d’expressions faciales.