Les chercheurs de l’Ineris et de l’Inserm viennent de développer
Les chercheurs de l’Ineris et de l’Inserm viennent de développer un test chez le poisson, permettant de détecter les effets perturbateurs endocriniens de certains contaminants de l’environnement.
Un embryon translucide de poisson zèbre, doté d’un gène rapporteur fluorescent, signale visuellement le contact avec un perturbateur endocrinien. En clair, lorsqu’un perturbateur est repéré, le cerveau du poisson s’allume. Pratique, non ? un test chez le poisson, permettant de détecter les effets perturbateurs endocriniens de certains contaminants de l’environnement.