La CNAM est inquiète car, à la différence de ses voisins européens, le taux de substitution des médicaments originaux par des génériques stagne autour de 72% alors qu'il avait atteint 79% fin 2010.
Les médecins ne semblent pas être les premiers responsables de cette régression car 4,2%seulement des ordonnances portent la mention NS (Non Substituable).
Les pharmaciens devraient davantage jouer le jeu rapidement, grâce notamment à la nouvelle convention les liant à la Sécu.