Bien sûr, les associations ont protesté contre le désengagement de l’Etat en matière de prévention (où est l’information, où est l’effort de dépistage, où sont passées les campagnes médiatiques ?).
Pourtant, c’est sans doute le 1er décembre le plus optimiste auquel on n’ait jamais assisté. Davantage de dépistages réalisés en France, un test rapide qui semble pouvoir s’imposer, une baisse du nombre de décès au niveau mondial et un espoir sérieux de vaccin thérapeutique mis au point par un laboratoire français.
Il serait imprudent d’annoncer la fin de la pandémie mais, en 2012, on peut du moins l’envisager avec raison à condition que les efforts soient – au minimum – poursuivis.