Grâce à des tests in vivo, les chercheurs de l’INRA de Toulouse démontrent pour la première fois que la peau constitue probablement aussi une porte d’entrée du Bisphénol A (BPA) au sein de l’organisme. Les biberons et les revêtements intérieurs des boîtes ou des canettes ne seraient donc pas l’unique source de contamination.
On trouve en effet le Bisphénol A sous forme libre dans une grande partie des « papiers thermiques », utilisés pour les petits terminaux d’impression (reçus de cartes de crédit, tickets de caisses enregistreuses, etc.).