Au départ, une réalité épidémiologique : l’augmentation du nombre de cancers de la cavité buccale depuis 30 ans. A l’arrivée, une étrange étude (réalisée par le Center for Desease Control and Prevention d’Atlanta) qui conclut que cette inflation serait en partie imputable à la pratique de la fellation et surtout à la multiplication des Human Papilloma Virus (HPV). Certrains de ceux-ci sont effectivement à l’origine des cancers de l’utérus.
Les promoteurs des vaccins anti HPV (Gardasil et Cervarix) en font déjà leurs gorges chaudes.