Victime d’une attaque cérébrale il y a 7 ans et souffrant depuis du locked-in syndrome (syndrome d’enfermement), Tony Nicklinson militait en faveur du droit à l’euthanasie.
Il avait entrepris un long combat judiciaire pour obtenir le droit de mettre fin à ses jours, combat qu’il venait de perdre quelques jours plus tôt.
Il refusait depuis toute nourriture et est officiellement décédé d’une pneumonie.