Les psys ruent dans les brancards après les charges violentes contre leur pratique dans la prise en charge de l’autisme.
Il faut dire que la France a pris un tel retard dans le domaine des thérapies comportementales que les approches psychanalytiques et de psychothérapie institutionnelles demeurent le seul recours, de loin insuffisant.
La Haute Autorité de Santé (HAS), qui met la dernière main à des recommandations dans ce domaine a dû se fendre lundi d’un communiqué tempérant les informations révélées le jour même par Libération.
Selon ces informations, les approches psy seraient désormais jugées non pertinentes et donc exclues des protocoles de prise en charge de l’autisme.
Confirmation ou infirmation le 5 mars, date de la publication du rapport de la HAS sur le sujet.