Pour la revue Prescrire, la nouvelle loi française sur le médicament est « très en retrait par rapport aux recommandations des différentes missions officielles et des Assises du médicament ».
Rien ou presque rien ne semble convenir à la désormais célèbre revue indépendante. Ni les règles de transparence et de gestion d’intérêt, ni les garanties de protection et d’information des patients, ni le contrôle des visiteurs médicaux à l’hôpital, ni l’encadrement des dispositifs médicaux, ni…
En fait, Prescrire ne donne quitus au gouvernement sur aucun élément législatif, d’autant moins d’ailleurs qu’un certain nombre de décrets sont encore attendus.