Pollution atmosphérique : air mortel
Notre espérance de vie réduite en ville




Le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire consacre son dernier numéro aux effets de la pollution. Aïe, ouille

Ce n’est pas vraiment un scoop mais la dernière livraison du BEH, édité par l’Institut National de Veille Sanitaire, le confirme : la pollution a de graves effets sur notre santé.

Les conséquences sur les voies respiratoires (aggravation de l’asthme, augmentation des cancers pulmonaires, etc.), le cœur (développement des infarctus) ou le cerveau (progression du nombre d’AVC) sont importantes.

Conséquences importantes et inquiétantes car, après des décennies de nette amélioration de la qualité de l’air en Europe, les taux mesurés de particules fines , de dioxydes d’azote et d’ozone sont restés stables depuis quelques années.

Une synthèse de 15 ans d’enquêtes qui devrait pouvoir servir de base à des mesures politiques à la fois globales et ciblées selon les conclusions de l’INVS.

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