Des caisses vides et un trop plein de consommation : voici 2 bonnes raisons pour le gouvernement de se pencher sur une possible augmentation des taxes sur la bière.
Côté argument de santé publique, on pourra évoquer l’explosion de la consommation chez les plus jeunes.
Côté finances publiques, on aura le loisir de justifier la mesure par les faibles droits d’accise encore appliqués (1,30 € par hectolitre et par degré d’alcool pour les bières courantes) qui ne rapportent « que » 300 millions par an et qui pourraient progresser de 50%. Les demi-mesures sont parfois dures à avaler…