Selon l’INED, près d’un décès sur deux (48%) serait hâté par une décision médicale. Cependant, seuls 0,8% des cas de décès serait la conséquence de médicaments destinés à donner la mort, soit une euthanasie active.
L’enquête de l’INED a été menée sous forme de questionnaires adressés aux médecins ayant rempli le questionnaire de décès (15.000 au total).