Face au développement rapide des techniques de neuro-imagerie fonctionnelle, le CCNE a jugé utile d’appeler à la vigilance pour ne pas « succomber à la fascination des images ».
Pour le CCNE, les espoirs qui sont portés aujourd’hui sur la méthode de l’IRM fonctionnelle pour comprendre le fonctionnement du cerveau sont légitimes mais « l’imagerie cérébrale n’est pas le reflet de la pensée d’une personne ».
Une petite pierre dans le jardin du législateur puisque la loi de bioéthique élargit l’usage des méthodes d’imagerie à l’expertise judiciaire, sans en préciser la finalité…